Le brâme du cerf 2018, de plus en plus triste…
La saison des amours du plus grand mammifère de France, le cerf élaphe arrive à sa fin avec encore son lot de déboires… encore une espèce qui d’ici très peu d’années ne sera observable qu’en parc privé. Le brâme étant devenu un phénomène “à la mode” où tout un chacun s’y rend sans aucune connaissance de l’animal donc sans précaution particulière quant au bruit, aux tenues…le brâme, un bien de consommation comme tout autre, aussi entre braconniers, photographes qui n’affûtent pas car “pas le temps” mais veulent quand même la photo à poster sur les réseaux sociaux. Il est difficile aujourd’hui de pouvoir admirer ces animaux dans leur milieu en toute tranquillité… J’ai pu avoir cette chance cette année, mais pour combien de temps encore?
Par ailleurs…
Le livre réalisé avec mon amie, Soazig Lemur, artiste peintre “Puydarrieux, au rythme des saisons” est toujours disponible au tarif de 20 € en passant par le formulaire de contact.
Photographe Charente-Maritime
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